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Florence illustre très bien la migration climatique

migration climatique

Des phénomènes comme Florence constituent une nouvelle source de mobilité à grande échelle de population, la migration climatique. Selon l’ONU, 1 milliard de personnes se sont déjà déplacées pour cause de météo. Cela, soit à l’intérieur de leur pays, soit au-delà de leurs frontières.

Migration climatique

C’est évident, la mobilité accrue de population trouve son origine dans un grand nombre de raisons. Le manque de ressource travail, ou sécurité, la pauvreté, et depuis quelques années, la détérioration de l’environnement.

À toutes ces raisons, il faut ajouter la pression de la population, toujours plus nombreuse et donc toujours plus gourmande en consommation de ressource. Et cela, peu en parlent, aujourd’hui, au-delà d’une réduction ou d’une nouvelle forme de consommation, c’est le nombre d’êtres humains sur terre qu’il va falloir penser à réguler.

Changement climatique

Le changement climatique redessine la carte des zones où les personnes peuvent vivre. Les approvisionnements alimentaires, en eau, sont perturbés par des phénomènes dévastateurs. Stress hydrique en Afrique, tempêtes et inondations à répétition dans les Caraïbes ou le Golfe du Mexique. Tous ces phénomènes anormaux au fil du temps deviennent la norme. Et c’est là que résident les fondements des changements climatiques.

Il faut s’adaptater

Il faut donc s’adapter, chanson connue, et c’est en cours. Selon l’ONU, des progrès majeurs ont été réalisés depuis les années 70. De meilleures constructions pour résister aux ouragans, de meilleures prévisions météorologiques pour anticiper les catastrophes et même l’élaboration d’un contrat mondial pour une migration plus sûre qui vient de débuter en février 2018.

Adaptation, réduction de l’émission de gaz à effet de serre et contrôle de la natalité doivent constituer le nouveau trio gagnant pour essayer de limiter le réchauffement planétaire.

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